Pour mémoire, dans l’épisode précédent nous avons montré que finalement
l’hôpital n’a jamais débordé en 2020 malgré toute la propagande réalisée à ce sujet. Le rapport de l’ATIH spécifique à la gestion de la crise Covid-19 par l’hôpital a montré que les patients Covid-19 ont seulement représenté 2% des patients passés à l’hôpital, ce qui est insignifiant. Le rapport de l’ATIH sur les hospitalisations toutes causes confondues ii nous a montré que l’hôpital français était en sous-régime pendant toute l’année 2020 avec 10% de séjours en moins par rapport aux années précédentes.
Nous avons pu voir également, que même au plus fort des crises, le nombre de patients Covid-19 n’a représenté au maximum que 3,7% d’une activité normale. Enfin nous avons vu que la Région qui a connu la plus forte proportion de séjours Covid-19 en 2020 est l’Île-de-France avec seulement 2,2% de séjours Covid-19.
Ainsi, l’hôpital français n’a jamais débordé en 2020, il a même fonctionné en sous-régime et donc abandonné de nombreux patients du fait des différentes mesures mises en place. La Covid-19 n’a pas eu d’impact visible sur les hospitalisations, ni sur l’ensemble de l’année, ni pendant les crises. Seules les décisions politiques ont été responsables de sa désorganisation.
Les défenseurs infatigables du gouvernement ou de la théorie de la pandémie mortelle opposent toujours 2 arguments à ces chiffres, pourtant difficilement contestables :
• Ils affirment que la statistique du nombre de patients admis pour Covid-19 ne représente pas bien les tensions extrêmes qu’a connu l’hôpital (de façon incontestable puisque vues à la télé) et qu’il faut explorer les autres, notamment les jours d’hospitalisations.
• Ils affirment que les services de soins critiques et de réanimations sont les vrais révélateurs de la pandémie, (montrant son caractère extrêmement dangereux) et qu’ils étaient complétements saturés.
Dans cette vidéo, nous allons terminer l’étude de ces 2 aspects pour montrer qu’il n’y a absolument eu aucune saturation nulle part et quel que soit l’indicateur retenu. Aucun argument logique ou rationnel ne permet de défendre l’histoire racontée sur l’hôpital Français depuis 18 mois. Nous ne doutons pas que les adeptes d’une religion trouveront toujours quelque chose pour la défendre. Il s’agit juste de permettre à ceux qui souhaiteraient faire usage de bon sens de comprendre le fantasme qui nous est servi.