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florent
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« Répondre #1 le: 04 Avril 2024 à 20:43:07 » |
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Temps bénis où l'on n'avait pas peur de tout et où .... (à compléter selon votre sensibilité) youtube]hmaeluWOTdM[/youtube] je bénis surtout la temps où les pilotes étaient des aviateurs. Les pratiquants étaient bien moins nombreux, passionnés, responsables. La qualité primait sur la quantité. Nous étions tranquille dans notre coin. Nous étions marginaux, les administrations nous calculaient à peine... On pouvait se permettre quelques extrêmes. Florent
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JiPé
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« Répondre #2 le: 05 Avril 2024 à 09:03:03 » |
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je bénis surtout la temps où les pilotes étaient des aviateurs. Les pratiquants étaient bien moins nombreux, passionnés, responsables. La qualité primait sur la quantité. Nous étions tranquille dans notre coin. Nous étions marginaux, les administrations nous calculaient à peine... On pouvait se permettre quelques extrêmes. Florent
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lescombes
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« Répondre #3 le: 06 Avril 2024 à 23:43:43 » |
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le temps de mes débuts à Nevers où mon instructeur me faisait passer entre les peupliers du canal de Loire et où les bateliers décabinés se baissaient derrière leur barre parce qu'on était un peu bas. Les pêcheurs en Loire, cuissardés jusqu'au ventre plongeaient leur longue canne à friture dans l'eau pour nous laisser passer. Les six heures motonautique de Nevers où nous faisions deux tours de l'ile quand les bateaux en faisaient un, le public debout!!! À cette époque, les lignes haute tension vers Decize, c'étaient des câbles qui traversaient la stratosphère Si je ne l'avais pas vécu, je prendrai volontiers le narrateur pour un gros mytho
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Yankeeromeo
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« Répondre #4 le: 07 Avril 2024 à 16:36:16 » |
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(...) À cette époque, les lignes haute tension vers Decize, c'étaient des câbles qui traversaient la stratosphère (...) Et maintenant, tu serais à mi-hauteur d'une éolienne...
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Yurek If God meant man to fly, He'd have given him... more money. @ LFFK - FONTENAY-LE-COMTE La vie est une pathologie sexuellement transmissible, à l'issue toujours fatale...
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Peter19
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« Répondre #5 le: 07 Avril 2024 à 17:18:25 » |
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le temps de mes débuts à Nevers où mon instructeur me faisait passer entre les peupliers du canal de Loire et où les bateliers décabinés se baissaient derrière leur barre parce qu'on était un peu bas. Les pêcheurs en Loire, cuissardés jusqu'au ventre plongeaient leur longue canne à friture dans l'eau pour nous laisser passer. Les six heures motonautique de Nevers où nous faisions deux tours de l'ile quand les bateaux en faisaient un, le public debout!!! À cette époque, les lignes haute tension vers Decize, c'étaient des câbles qui traversaient la stratosphère Si je ne l'avais pas vécu, je prendrai volontiers le narrateur pour un gros mytho No just for the fun: Never (s) again!
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René-Pierre
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Maverick
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« Répondre #6 le: 07 Avril 2024 à 22:46:31 » |
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méfiance tout de même, certains quidams n'ont pas tous le même sens de l'humour que nous il y a quelques années, disons qu'il y a prescription , un week end du 15 aout avec un pote on a fait du radada au dessus d'un champ j'ai vu un agriculteur pas loin sur son tracteur alors je suis passé quelques mètres au dessus de lui pour lui faire un petit coucou a pas du apprécier car une fois revenu au terrain on a constaté un trou dans le plan fixe du D113 le gars nous avait tiré une balle ! (pas de la chevrotine, une balle)
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lescombes
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« Répondre #7 le: 08 Avril 2024 à 16:28:24 » |
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No just for the fun: Never (s) again! Never again, ça c'est sûr, à l'époque je n'avais pas encore de licence, donc rien à perdre Et maintenant, tu serais à mi-hauteur d'une éolienne...
Ça m'est arrivé récemment vers Langogne d'être sous la couche mais aussi sous les éoliennes dont les pales grattaient les nuages, Les"retours basse hauteur" deviennent un peu stressant avec l'age.
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Peter19
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« Répondre #8 le: 08 Avril 2024 à 18:45:00 » |
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méfiance tout de même, certains quidams n'ont pas tous le même sens de l'humour que nous il y a quelques années, disons qu'il y a prescription , un week end du 15 aout avec un pote on a fait du radada au dessus d'un champ j'ai vu un agriculteur pas loin sur son tracteur alors je suis passé quelques mètres au dessus de lui pour lui faire un petit coucou a pas du apprécier car une fois revenu au terrain on a constaté un trou dans le plan fixe du D113 le gars nous avait tiré une balle ! (pas de la chevrotine, une balle) J'ai aussi connu la même mésaventure sur un Hughes500, le plan horizontal transpercé de part en part, un trou 12mm à vue de nez (balle ou chevrotine?), constaté en bâchant l'hélico. Pas spécialement de radada, mais en hélico et en campagne souvent plus bas qu'en avion.
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René-Pierre
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Gros Rouge
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« Répondre #9 le: 08 Avril 2024 à 23:26:14 » |
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a pas du apprécier car une fois revenu au terrain on a constaté un trou dans le plan fixe du D113 le gars nous avait tiré une balle ! (pas de la chevrotine, une balle)
Chapeau le tireur! Y a le bon chasseur, y voit un D113, y tire! Et le mauvais chasseur, y voit un D113, Y tire, mais c'est pas pareil
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Thierry Mazenot
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« Répondre #10 le: 05 Septembre 2024 à 14:40:24 » |
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le temps de mes débuts à Nevers où mon instructeur me faisait passer entre les peupliers du canal de Loire et où les bateliers décabinés se baissaient derrière leur barre parce qu'on était un peu bas. Les pêcheurs en Loire, cuissardés jusqu'au ventre plongeaient leur longue canne à friture dans l'eau pour nous laisser passer. Les six heures motonautique de Nevers où nous faisions deux tours de l'ile quand les bateaux en faisaient un, le public debout!!! À cette époque, les lignes haute tension vers Decize, c'étaient des câbles qui traversaient la stratosphère Si je ne l'avais pas vécu, je prendrai volontiers le narrateur pour un gros mytho Votre narration me rappelle quelqu'un que j'ai bien connu, et qui faisait la même chose avec ses Jodel. Enfant, j'étais sur les berges de la Loire à Imphy, pour le voir passer en rase motte, au dessus de la Loire, les quelques pécheurs faisaient la même chose que les votres...Il m'est aussi arrivé d'être le passager, aux anges, dans le D112... Heureux temps...
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lescombes
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« Répondre #11 le: 08 Septembre 2024 à 16:57:30 » |
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Votre narration me rappelle quelqu'un que j'ai bien connu, et qui faisait la même chose avec ses Jodel. Enfant, j'étais sur les berges de la Loire à Imphy, pour le voir passer en rase motte, au dessus de la Loire, les quelques pécheurs faisaient la même chose que les votres...Il m'est aussi arrivé d'être le passager, aux anges, dans le D112... Heureux temps...
Des noms, des noms, Le F-BKCB. Eric Munzig? (paix à son âme) p'tit Louis Christian M...
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Thierry Mazenot
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« Répondre #12 le: 10 Septembre 2024 à 10:17:38 » |
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Des noms, des noms, Le F-BKCB. Eric Munzig? (paix à son âme) p'tit Louis Christian M...
Non tout simplement mon grand-père Paul Mazenot, avec le F-PDHK et le F-PBOV. Cela se passait à la fin des années 50, début des années 60, quand il habitait la villa " Le souvenir " en bord de Loire à Imphy.
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lescombes
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« Répondre #13 le: 13 Septembre 2024 à 17:01:09 » |
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Le nom me dit quelque chose, mais je fais peut-être erreur, fréquentait-il encore l'aéroclub du Nivernais en 74/75 ?
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Journalisée
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Thierry Mazenot
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« Répondre #14 le: 13 Septembre 2024 à 21:06:17 » |
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Le nom me dit quelque chose, mais je fais peut-être erreur, fréquentait-il encore l'aéroclub du Nivernais en 74/75 ?
Oui bien entendu, il a fait l'histoire de cet aéroclub, avec Jean Montagnon et quelques autres. Voir sur ce site dans la rubrique Hommage " Paul Mazenot ". Il m'arrivait de venir voler avec lui, à "la sangsue ", à cette époque. Je n'avais pas encore mon brevet de pilote.
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Journalisée
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